Lundi 31 juillet 2006 à 20:36

Ne voyez en cela rien de bien vulgaire, ostentatoire, ou tout autre mot subtil dénoncant un brin de vision trash dans un monde virtuel ou le spam règne et à l'apogée des branleurs télévisuels...

J'insiste sur le fait qu'aujourd'hui bien de réactions sont suscitées par la prononciation de certaines phrases pouvant paraitres ambigus et imbibés de clichés de la reproduction...

Un bien mot mal employé pourrait parfois faire rougir les interlocuteurs sensibles dans des conversations banales voire même susciter une certaine dureté chez des personnes particulières...

C'est alors qu'en réalité, je dévoile un zeste de personnalité tel un éternuement intempestif et bien branlé sur le pull en laine de grand-mère, et j'avoue et vous concède que tout ceci est normal dans un âge où l'on cherche tout simplement un partenaire...

Bien que cela reste vrai à tout âge (bien que cela puisse vous étonner)...

Ainsi, rien de tel qu'une pivoine mûre pour montrer à d'autres personnes (pourtant mûres également) que tout est normal, ce qui ne serait pas normal c'est bien des innocents masscrés lors d'un génocide sans raison et pourtant on trouve ça plus normal de nos jours, bientôt...

Dans un monde où règne l'ultra-violence, où notre esprit s'en trouve tellement violé qu'il en oublie tous ses principes...

En un mot voire plusieurs, faites-vous plaisir, sans excès...

Mais raisonnablement et dans le consentement de chacun...

Pour conclure, je vais terminer par un point.

Lundi 31 juillet 2006 à 20:23









J'aime les chattes !







Sans vouloir être grossier...

Jeudi 27 juillet 2006 à 19:07

Veiller au Lendemain


Mardi 25 juillet 2006 à 19:05

Un peu de musique ne peut faire de mal dans notre monde si cruel et sans pitié, alors voici un tout nouveau truc que je vous propose au sein de cette planète virtuelle...

Je vous propose de vous faire partager mes goûts musicaux, mes p'tits coup d'coeur, ce que j'aime, adore, admire, adule, écoute et reécoute sans cesse et sans me lasser...

Alors pour cette première voici le Royal Crown Revue, ce nom ne vous dit peut-être rien et pourtant vous avez déjà tous entendu un de leurs morceaux au moins une fois dans votre vie et ce grâce au cinéma...

A travers un film hilarant : The Mask, avec un Jim Carrey déchainé dans le premier rôle qui va danser frénétiquement avec Cameron Diaz sur la musique de, et vous l'aurez deviné, Royal Crown Revue - Hey Pachuco !

Je ne vous fait pas attendre plus longtemps...



Et donc, je m'écoute ce morceau en boucle jusqu'à avoir cherché des albums d'eux comme The Contender, Walk On Fire, Mugzy's Move, ...

Et j'aime tout autant...

Lundi 24 juillet 2006 à 19:03

Un matin, la radio s'allume sur une chaîne de radio quelconque car je n'ai pas choisi la station, musicale comme je le devine par ses passages musicaux. Au départ on ne fait pas bien attention à tout ceci le temps d'émerger doucement de son sommeil et de se diriger vers la salle de bain...

Après une peu d'eau froide sur la figure pour se rafraîchir et se réveiller, je reviens dans la chambre pour aérer et éclairer cette pièce sombre à l'odeur bestiale, là, notre tête s'éveille, et on parvient à entendre, et, parfois même, comprendre ce qui sort de cette boîte grésillante : des paroles d'une chanson...

"Je vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu'un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu'il mène vers de calmes jardins"

A première vue on peut penser à un peu de douceur et d'espoir dans ce monde de brutes semant et récoltant la guerre dans les quatre coins du monde. Puis ça passe, on continue notre journée sans se soucier de cette chanson bien qu'elle ait pu nous mettre de bonne humeur, mais on ne réfléchit pas beaucoup, non, car c'est trop mauvais de réfléchir...

Car, après réflexion, j'en suis venu à une conclusion, une conclusion toute simple, cette chanson ne nous souhaite pas de vivre heureux, bien au contraire...

Mais pourquoi ?

Une vie toute entière, d'un quelconque être humain, est parsemée de choses et d'autres, de bonheur et de malheur, d'obstacles, d'embûches, de mains tendues et que l'on parvient à être heureux, à nager dans le bonheur, grâce à tout ceci que ce soit en bien ou en mal...

Une personne qui ne connaît que le malheur ne sait pas ce qu'est le malheur en lui-même et sera extrêmement heureux en découvrant le bonheur...

Et réciproquement...

Ainsi, lorsque l'on souhaite tout le bonheur du monde à une personne, on souhaite qu'elle ne connaisse pas le malheur...

Mais le bonheur ne rend pas heureux sans un zeste malheur permettant d'accéder au bonheur, comme quoi il y a toujours du bonheur dans le malheur, et, qu'après le malheur vient le bonheur. Vivre heureux sans malheur c'est ne pas connaître le bonheur, un bonheur malheureux sans malheur heureux. On ne peut donc pas être heureux sans malheur...

Et si l'on souhaite tout le bonheur du monde, on ne souhaite aucun malheur, on ne souhaite donc pas d'être heureux, mais le contraire...

Remarquez qu'on dit un "malheureux" mais pas un "bonheureux"...

Je vous souhaite donc tout le malheur du monde...

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