Il fut un temps où l'on marchandait beaucoup ce genre de choses, dans des contrées lointaines...
Il fut un temps où 175 passagers périrent dans le feu d'une forêt pour que puisse renaître 80 et une personne...
On les appelèrent les élus qui parcourirent le monde en long et en large, pour propager la nouvelle du 82ème passager...
Le passager mystérieux, inconnu des listes, une sorte de clandestin qui n'aurait jamais dû retourner sur Terre...
Cette légende reste aux yeux de tous une supercherie planétaire pour
prouver au monde qu'il n'existe qu'un seul Dieu, et pourtant, cette
légende est vraie, mais n'a pas le but que tout le monde prétend...
C'était un roi, un roi bienheureux qui aimait son peuple, et son peuple
l'aimait en retour, chacun y donnait de soi-même pour être heureux et
pour rendre son voisin heureux...
Le roi n'était là qu'en cas de menace extérieur, car ce roi était en
plus un grand guerrier, l'unique et le plus grand des guerriers, qui, à
lui seul, pouvait abattre une armée aussi puissante soit-elle...
On dit que même si le soleil devait tomber, il serait capable de la renvoyer à sa place...
Mais, une histoire tragique arriva à ce roi, ce n'est pas la
vieillesse, pire ennemi de la vie, qui mit fin à ses jours, mais
lui-même...
Un matin, ou plutôt une nuit, il se réveilla la bouche pateuse, et, en
regardant ses mains, il vit des centaines de petites coupures, il était
métamophosé...
Il devait de jour en jour se battre intérieurement contre lui-même,
contre un autre, qui cherchait à détruire son peuple et son bonheur, il
comprit alors que pour sauver son peuple il devait se sacrifier, car
s'il laissait son maléfique prendre le dessus, aucune imagination
n'aurait pu raconter les évènement qui auraient suivis...
C'est en avalant un serpent venimeux qui se libéra, et libéra ainsi son
peuple de sa propre menace, mais le condamna également à vivre...
A vivre avec le bonheur mais également le malheur, la souffrance et la tristesse...
De retour sur Terre, personne ne sait laquelle des personnalités de ce roi est revenue...
Le doute s'installe donc dans l'esprit de chacun, empli d'une peur immense sur la destinée de l'Homme...
Dimanche 27 août 2006 à 20:03
Samedi 26 août 2006 à 3:36
Quand on frotte du charbon à mains nues, elles deviennent noires...
On se lave les mains et ça part...
Mais dans notre tête, tout va de travers, et la fenêtre ouverte, on ordonne aux oiseaux de cesser leurs chants audacieux, quitte à perdre une pantoufle dans la bataille...
Et je ne vous dis pas quand les chats s'y mettent...
Enfin si, mais vous imaginerez, comme pour tous les vierges et leurs fantasmes...
On se lave les mains et ça part...
Mais dans notre tête, tout va de travers, et la fenêtre ouverte, on ordonne aux oiseaux de cesser leurs chants audacieux, quitte à perdre une pantoufle dans la bataille...
Et je ne vous dis pas quand les chats s'y mettent...
Enfin si, mais vous imaginerez, comme pour tous les vierges et leurs fantasmes...
Mercredi 23 août 2006 à 23:12
Un soir, en rentrant du collège, je suis arrivé vers ma génitrice, la tête baissé, avec un air très coupable, en lui annonçant "Maman...je dois t'avouer quelques chose, avant que tu ne reçoives un courrier...j'me suis fait prendre en train de fumer dans les toilettes"...
C'est à ce moment-là, cet instant précis, juste après cette phrase, qu'il aurait fallu arrêter le temps pour prendre le temps de prendre une photo (sans vouloir compliquer les choses), car, bien sûr, tout ceci était faux, je n'ai jamais fumé dans les toilettes...
Une petite supercherie d'enfant à sa maman, pour lui faire peur, pour voir sa tête...
Mais plus tard, peut-être lors de ma trentaine, à mon anniversaire justement, quand elle sera présente, je lui avouerai que je suis dans la Mafia et que j'ai dû me résoudre à éliminer quelques personnes...
Peut-être qu'à ce moment-là, les technologies seront assez évoluées pour prendre la photo au bon moment...
Quoique je ne saurai pas quoi faire de cette photo, comme quoi c'est parfois stupide, elle aura peut-être la santé fragile et mourrira malencontreusement d'un arrêt du coeur, comme la plupart des morts d'aujourd'hui et d'hier, et de demain...
Enfin, dans ce cas-là, ce n'est pas la photo qui me dérangerait, mais plutôt un corps inerte dans mes bras, et, n'ayant pas la conscience tranquille je voudrai me débarasser de ce corps rapidement en évitant de me rendre coupable de cette mort...
J'ai pourtant vu pas mal de film, mais bien souvent, soit les morts reviennent à la surface, soit la police retrouve le corps et, après analyse d'urine, retrouve le coupable, qui est bien souvent celui qui à l'air le moins coupable...
Trop fort la police quand même...
Le mieux serait peut-être d'être Le Parrain, de contrôler la ville et la police et ne plus avoir de soucis à se faire...
Ou tout simplement d'aller se coucher...
C'est à ce moment-là, cet instant précis, juste après cette phrase, qu'il aurait fallu arrêter le temps pour prendre le temps de prendre une photo (sans vouloir compliquer les choses), car, bien sûr, tout ceci était faux, je n'ai jamais fumé dans les toilettes...
Une petite supercherie d'enfant à sa maman, pour lui faire peur, pour voir sa tête...
Mais plus tard, peut-être lors de ma trentaine, à mon anniversaire justement, quand elle sera présente, je lui avouerai que je suis dans la Mafia et que j'ai dû me résoudre à éliminer quelques personnes...
Peut-être qu'à ce moment-là, les technologies seront assez évoluées pour prendre la photo au bon moment...
Quoique je ne saurai pas quoi faire de cette photo, comme quoi c'est parfois stupide, elle aura peut-être la santé fragile et mourrira malencontreusement d'un arrêt du coeur, comme la plupart des morts d'aujourd'hui et d'hier, et de demain...
Enfin, dans ce cas-là, ce n'est pas la photo qui me dérangerait, mais plutôt un corps inerte dans mes bras, et, n'ayant pas la conscience tranquille je voudrai me débarasser de ce corps rapidement en évitant de me rendre coupable de cette mort...
J'ai pourtant vu pas mal de film, mais bien souvent, soit les morts reviennent à la surface, soit la police retrouve le corps et, après analyse d'urine, retrouve le coupable, qui est bien souvent celui qui à l'air le moins coupable...
Trop fort la police quand même...
Le mieux serait peut-être d'être Le Parrain, de contrôler la ville et la police et ne plus avoir de soucis à se faire...
Ou tout simplement d'aller se coucher...
Lundi 21 août 2006 à 21:00
La fréquence des métros en période de vacances scolaires, et plus particulièrement en été, est plus longue qu'habituellement. Nous devons parfois attendre une dizaine de minutes avant de pouvoir monter dans une rame, surtout le dimanche après-midi, et, dix minutes ça peut parfois nous sembler long, très long...
C'est en ce jour que j'arrive à ma station habituelle, déjà pas énormément fréquenté en temps normal, il y n'y avait pas un rat mort ou même en pleine agonie dans le coin, seulement moi et ma musique...
On peut ainsi comprendre ma surprise en apercevant au quai un autre homme, petit, trapu, boule à zéro et bonnet en plein exercice, il faisait quelques étirements...
Je l'ignore donc, préférant écouter ma musique, je fais les cent pas en attendant le métro, puis je redoute le pire, lorsque je vois l'homme s'approcher de moi : "Elle est bonne ta musique ?" Il prend l'uns de mes écouteurs, le fourre dans son oreille poilue et écoute : "Ouais pas mal"...
Quelques pas plus tard, il m'interpelle à nouveau, je me sens contraint d'arrêter ma musique et de pleinement l'écouter pour éviter de le contrarier, et j'ai bien eu raison...
Ses paroles au départ m'étaient quelques peu incompréhensibles, je n'ai pu en tirer que quelques mots tels "J'vais au billard", "arabes", "agression", "police"...
Puis vient son récit un peu plus explicite : "Parce que j'ai fait de la prison, quatre ans de taule, pour avoir tabassé des flics, nez pété, dents cassées, là devant, j'ai tailladé des bras, comme ça, maintenant j'me promène toujours avec ça sur moi et j'hésite pas à m'en servir"...
Il sort donc un couteau à cran d'arrêt qu'il ouvre juste sous mon nez, ma respiration s'est coupée subitement avec le coeur qui battait aussi vite que les ailes d'un oiseau-mouche...
"Et avec ça, je les égorge, les flics"
Je n'ai su que répondre "ça doit faire mal"
"Oh que oui...la société c'est de devenu de la merde, c'est dangereux
- Je suis tout à fait d'accord avec vous"
Le métro arrive enfin, il m'invite à monter avec lui dans la rame, je refuse en prétextant que j'attendais quelqu'un, il me souhaite un bon week-end et je lui retourne le compliment...
Je respire...
Dans ces cas-là il faut bien sûr éviter de contrarier ce genre de personnes, car on pourrait peut-être regretter les conséquences, même s'il n'était pas imposant par sa taille, il avait tout de même quoi égorger un âne en un geste, et, cela est amplement suffisant pour impressionner ma personne...
J'ai donc préférer acquiéscer toutes ses propositions, montrant à un minimum d'intérêt à ses propos, tout en essayant de rester décontracter et d'avoir des gestes familiers avec lui...
C'est en ce jour que j'arrive à ma station habituelle, déjà pas énormément fréquenté en temps normal, il y n'y avait pas un rat mort ou même en pleine agonie dans le coin, seulement moi et ma musique...
On peut ainsi comprendre ma surprise en apercevant au quai un autre homme, petit, trapu, boule à zéro et bonnet en plein exercice, il faisait quelques étirements...
Je l'ignore donc, préférant écouter ma musique, je fais les cent pas en attendant le métro, puis je redoute le pire, lorsque je vois l'homme s'approcher de moi : "Elle est bonne ta musique ?" Il prend l'uns de mes écouteurs, le fourre dans son oreille poilue et écoute : "Ouais pas mal"...
Quelques pas plus tard, il m'interpelle à nouveau, je me sens contraint d'arrêter ma musique et de pleinement l'écouter pour éviter de le contrarier, et j'ai bien eu raison...
Ses paroles au départ m'étaient quelques peu incompréhensibles, je n'ai pu en tirer que quelques mots tels "J'vais au billard", "arabes", "agression", "police"...
Puis vient son récit un peu plus explicite : "Parce que j'ai fait de la prison, quatre ans de taule, pour avoir tabassé des flics, nez pété, dents cassées, là devant, j'ai tailladé des bras, comme ça, maintenant j'me promène toujours avec ça sur moi et j'hésite pas à m'en servir"...
Il sort donc un couteau à cran d'arrêt qu'il ouvre juste sous mon nez, ma respiration s'est coupée subitement avec le coeur qui battait aussi vite que les ailes d'un oiseau-mouche...
"Et avec ça, je les égorge, les flics"
Je n'ai su que répondre "ça doit faire mal"
"Oh que oui...la société c'est de devenu de la merde, c'est dangereux
- Je suis tout à fait d'accord avec vous"
Le métro arrive enfin, il m'invite à monter avec lui dans la rame, je refuse en prétextant que j'attendais quelqu'un, il me souhaite un bon week-end et je lui retourne le compliment...
Je respire...
Dans ces cas-là il faut bien sûr éviter de contrarier ce genre de personnes, car on pourrait peut-être regretter les conséquences, même s'il n'était pas imposant par sa taille, il avait tout de même quoi égorger un âne en un geste, et, cela est amplement suffisant pour impressionner ma personne...
J'ai donc préférer acquiéscer toutes ses propositions, montrant à un minimum d'intérêt à ses propos, tout en essayant de rester décontracter et d'avoir des gestes familiers avec lui...
Vendredi 18 août 2006 à 18:46
"Son art c'est la mort. Et il s'apprête à peindre son chef-d'oeuvre."
Les récits d'êtres exceptionnels nous paraissent toujours à première vue exceptionnels, mais si toutes ces exceptions étaient banales, on en penserait tout le contraire, de la banalité à l'état pur...
Comme lorsque l'on trouve marqué en blanc sur un t-shirt noir "100% Pur Mâle", le pur c'est déjà du 100%, je ne revendrai jamais de la cocaïne 100% pure à mes clients, ils me prendront tout de suite pour un barjo et croiront que j'ai commencé à consommer mon produit, ce qui est une très grave erreur dans le métier de dealer : il ne faut jamais devenir dépendant de son produit ou c'est la faillite assuré, avec les emmerdes qui suivent, comme des coups de feus, voire des morts, et les morts ça tuent...
D'ailleurs, on en voit partout des morts, ça pullule dans tous les coins du monde, j'vous raconte pas, et ça on en parle pas aux infos, à la télé, non, sauf quand ça fait du bruit...
Et pourtant mon lave-linge, il en fait du bruit, et j'en parle pas à tout le monde, c'est un peu comme si je vous racontais ma vie personnelle, qui est comme c'est indiqué personnelle et donc privée et je ne voudrai pas en arriver à étaler ma vie privée dans tous les recoins du monde, car ça va vite avec internet de nos jours...
C'est pour cela que je soupçonne quelques organisations secrètes (gouvernementales ou non) à m'espionner chaque jour devant mon ordi dans le but de me soutirer des informations secrètes, privées, mais je ne dirai rien, oh ça non, rien de rien, rien ne pourra me faire parler...
A la rigueur, s'il me demande gentillement avec un peu d'argent, je leur répondrai par un e-mail anonyme...
Mais dans le pire des cas, j'agirai à la Al Capone qui a lui-même dit "Vous pouvez obtenir plus avec des paroles aimables et un bon flingue qu'avec des paroles aimables seulement"...
Un bon flingue, on en trouve pas dans les rues, par terre sur le trottoir, et en commander par internet c'est risqué, on fouille nos colis aux frontières, les gens n'ont aucune confiance en nous, c'est ridicule...
Aussi ridicule qu'un poil de balai oublié sous la commode, c'est qui est un peu le comble, le balai nettoie mais on laisse des poils de balai derrière, à force y'aura plus de poils et on pourra plus nettoyer, une castastrophe apocalyptique lorsque ceci arrivera à toutes les ménagères de moins et de plus de 50 ans (50 ans non compris)...
Un demi-siècle de vie tout de même, pas loin de la retraite, et de Derrick et les Feux de l'Amour tout les jours avachi sur son canapé en tricotant ou une bière à la main, et caressant le chat de l'autre (en evitant de tricoter le chat)...
Le pire c'est que parfois on peut trouver plusieurs chats, ça fera donc des jaloux (surtout du côté des veuves, à moins qu'elles ne soient inscrites sur des sites de rencontres), car un chat qui n'a pas sa dose de caresse va se sentir rejeté et ne chiera plus dans le bac à sable mais sous la couette et quand on est vieux on sent plus rien et on se retrouve donc littéralement dans la merde...
Certains comprennent donc pourquoi les vieux puent, sans vouloir les véxer, ni les offenser, j'ai tout de même un peu de respect pour eux même s'ils nous laissent un monde en pleine décadence et qu'ils ne se sont pas tués à la tâche pour nous faire un monde utopique où l'on vivrait heureux pendant des années, des égoïstes j'vous dis...
Comme les chats, ça ne pense qu'à sa propre personne, alors qu'un chien, il va vous chercher vos pantoufles et vous apporte le journal, certes avec un peu de bave mais c'est le geste qui compte et en retour vous jouez avec lui, le sortez et lui donnez à manger, voilà un bon compromis...
Alors quand on dit une vie de chien, je trouve que c'est une bonne vie, nourri, logé, blanchi contre quelques petits rituels pas fatigants à faire...
Tandis qu'un homme, ça n'a pas la vie facile, c'est moi qui vous le dis, et personne d'autres...
Ou alors on ne me met pas au courant des choses qui se passent actuellement dans le monde...
Encore des morts ? Je n'en doute pas...
Mais on parle jamais des nouveaux-nés...
Son art c'est la vie. Et ils s'apprête à peindre son chef-d'oeuvre...
Je comprends, ça devient tout de suite plus ambigu comme ça...
Les récits d'êtres exceptionnels nous paraissent toujours à première vue exceptionnels, mais si toutes ces exceptions étaient banales, on en penserait tout le contraire, de la banalité à l'état pur...
Comme lorsque l'on trouve marqué en blanc sur un t-shirt noir "100% Pur Mâle", le pur c'est déjà du 100%, je ne revendrai jamais de la cocaïne 100% pure à mes clients, ils me prendront tout de suite pour un barjo et croiront que j'ai commencé à consommer mon produit, ce qui est une très grave erreur dans le métier de dealer : il ne faut jamais devenir dépendant de son produit ou c'est la faillite assuré, avec les emmerdes qui suivent, comme des coups de feus, voire des morts, et les morts ça tuent...
D'ailleurs, on en voit partout des morts, ça pullule dans tous les coins du monde, j'vous raconte pas, et ça on en parle pas aux infos, à la télé, non, sauf quand ça fait du bruit...
Et pourtant mon lave-linge, il en fait du bruit, et j'en parle pas à tout le monde, c'est un peu comme si je vous racontais ma vie personnelle, qui est comme c'est indiqué personnelle et donc privée et je ne voudrai pas en arriver à étaler ma vie privée dans tous les recoins du monde, car ça va vite avec internet de nos jours...
C'est pour cela que je soupçonne quelques organisations secrètes (gouvernementales ou non) à m'espionner chaque jour devant mon ordi dans le but de me soutirer des informations secrètes, privées, mais je ne dirai rien, oh ça non, rien de rien, rien ne pourra me faire parler...
A la rigueur, s'il me demande gentillement avec un peu d'argent, je leur répondrai par un e-mail anonyme...
Mais dans le pire des cas, j'agirai à la Al Capone qui a lui-même dit "Vous pouvez obtenir plus avec des paroles aimables et un bon flingue qu'avec des paroles aimables seulement"...
Un bon flingue, on en trouve pas dans les rues, par terre sur le trottoir, et en commander par internet c'est risqué, on fouille nos colis aux frontières, les gens n'ont aucune confiance en nous, c'est ridicule...
Aussi ridicule qu'un poil de balai oublié sous la commode, c'est qui est un peu le comble, le balai nettoie mais on laisse des poils de balai derrière, à force y'aura plus de poils et on pourra plus nettoyer, une castastrophe apocalyptique lorsque ceci arrivera à toutes les ménagères de moins et de plus de 50 ans (50 ans non compris)...
Un demi-siècle de vie tout de même, pas loin de la retraite, et de Derrick et les Feux de l'Amour tout les jours avachi sur son canapé en tricotant ou une bière à la main, et caressant le chat de l'autre (en evitant de tricoter le chat)...
Le pire c'est que parfois on peut trouver plusieurs chats, ça fera donc des jaloux (surtout du côté des veuves, à moins qu'elles ne soient inscrites sur des sites de rencontres), car un chat qui n'a pas sa dose de caresse va se sentir rejeté et ne chiera plus dans le bac à sable mais sous la couette et quand on est vieux on sent plus rien et on se retrouve donc littéralement dans la merde...
Certains comprennent donc pourquoi les vieux puent, sans vouloir les véxer, ni les offenser, j'ai tout de même un peu de respect pour eux même s'ils nous laissent un monde en pleine décadence et qu'ils ne se sont pas tués à la tâche pour nous faire un monde utopique où l'on vivrait heureux pendant des années, des égoïstes j'vous dis...
Comme les chats, ça ne pense qu'à sa propre personne, alors qu'un chien, il va vous chercher vos pantoufles et vous apporte le journal, certes avec un peu de bave mais c'est le geste qui compte et en retour vous jouez avec lui, le sortez et lui donnez à manger, voilà un bon compromis...
Alors quand on dit une vie de chien, je trouve que c'est une bonne vie, nourri, logé, blanchi contre quelques petits rituels pas fatigants à faire...
Tandis qu'un homme, ça n'a pas la vie facile, c'est moi qui vous le dis, et personne d'autres...
Ou alors on ne me met pas au courant des choses qui se passent actuellement dans le monde...
Encore des morts ? Je n'en doute pas...
Mais on parle jamais des nouveaux-nés...
Son art c'est la vie. Et ils s'apprête à peindre son chef-d'oeuvre...
Je comprends, ça devient tout de suite plus ambigu comme ça...