J'en ai marre, je suis drôle certes, mais, il faut savoir s'arrêter dans la vie...
J'arrête de parler, d'occuper la parole, de dire n'importe quoi...
J'arrête ce blog, pour cette année...
Dimanche 31 décembre 2006 à 12:10
Samedi 30 décembre 2006 à 0:19
Oui, cet article est collector, le titre est assez évocateur...
Pourquoi ? Me direz-vous...
Et bien, parce que j'ai à côté de moi une boîte de dvd, mais attention, pas n'importe quelle boîte de dvd, c'est une boîte collector...
J'aime qu'on me complimente, alors je vais continuer de faire comme je l'ai toujours fait, d'écrire admirablement bien, avec un style original, extraordinaire, qui feront fuser les critiques sur mon sujet comme un auteur exceptionnel, et, si les critiques ne se font pas, c'est que personne ne trouve les mots pour oser qualifier une telle beauté littéraire, et, quand les critiques seront mauvaises, ce ne sera que par pure jalousie...
Et pourtant, j'ai beau souffler sur mon briquet, la flamme ne s'éteint pas, il n'est pas neuf, je l'ai troqué, avec mon grand-père, un beau moment de Noël après une partie de belote, j'ai dû perdre pour l'acquérir, il faut parfois savoir se sacrifier dans la vie...
Je vous inviterai à une partie de golf, un de ces quatres, vous verrez, c'est charmant, l'air pur, le gazon, les nuages, les clubs, la tranquilité, les caddies, et pas un éco-marché dans le coin...
Comme sur les bornes d'arcades, insert a coin, jamais de la vie...
Game Over, bordel, si en plus je dois tout vous dire...
Pourquoi ? Me direz-vous...
Et bien, parce que j'ai à côté de moi une boîte de dvd, mais attention, pas n'importe quelle boîte de dvd, c'est une boîte collector...
J'aime qu'on me complimente, alors je vais continuer de faire comme je l'ai toujours fait, d'écrire admirablement bien, avec un style original, extraordinaire, qui feront fuser les critiques sur mon sujet comme un auteur exceptionnel, et, si les critiques ne se font pas, c'est que personne ne trouve les mots pour oser qualifier une telle beauté littéraire, et, quand les critiques seront mauvaises, ce ne sera que par pure jalousie...
Et pourtant, j'ai beau souffler sur mon briquet, la flamme ne s'éteint pas, il n'est pas neuf, je l'ai troqué, avec mon grand-père, un beau moment de Noël après une partie de belote, j'ai dû perdre pour l'acquérir, il faut parfois savoir se sacrifier dans la vie...
Je vous inviterai à une partie de golf, un de ces quatres, vous verrez, c'est charmant, l'air pur, le gazon, les nuages, les clubs, la tranquilité, les caddies, et pas un éco-marché dans le coin...
Comme sur les bornes d'arcades, insert a coin, jamais de la vie...
Game Over, bordel, si en plus je dois tout vous dire...
Dimanche 24 décembre 2006 à 17:09
Un russe blanc, un peu d'encens, ou un narghilé, une shisha disent d'autres, une bonne paire de couilles, une tête dans les nuages et un soupçon de rêverie...
Voilà, ça c'est un cocktail de Noël...
Seulement, je ne me reconnais plus, moi-même, devant un miroir, je suis face à un autre homme...
Ca me fait bizarre, surtout que je garde certains tics avec mes poils de barbe, sauf que je n'en ai plus et les cheveux, pareil...
Mais je ne suis pas chauve...
Et, depuis, j'attrape froid, à la tête, tellement que j'ai dû m'acheter un bonnet...
Vous n'imaginez pas le truc, incroyable...
Pour le russe blanc :
- 1/3 de Vodka
- 1/3 de liqueur de café
- 1/3 de lait
Voilà, ça c'est un cocktail de Noël...
Seulement, je ne me reconnais plus, moi-même, devant un miroir, je suis face à un autre homme...
Ca me fait bizarre, surtout que je garde certains tics avec mes poils de barbe, sauf que je n'en ai plus et les cheveux, pareil...
Mais je ne suis pas chauve...
Et, depuis, j'attrape froid, à la tête, tellement que j'ai dû m'acheter un bonnet...
Vous n'imaginez pas le truc, incroyable...
Pour le russe blanc :
- 1/3 de Vodka
- 1/3 de liqueur de café
- 1/3 de lait
Dimanche 24 décembre 2006 à 1:40
Certaines théories, ou plutôt, certaines analyses m'ont permis de constater une sorte de loi, un théorème, vous savez, comme Murphy...
J'ai ainsi remarqué que, oui, lorsque je ne suis pas là, lorsque je ne propose aucun article à mes potentiels lecteurs, fidèles, éphémères, morts ou pas encore nés, leur nombre est plus important que lorsque j'écris un petit mot, un texte, une broutille, versifié ou non...
Enfin, vous savez, les statistiques, ils ne faut pas toujours s'y fier, et ce n'est pas ça qui m'arrêtera, non, même dans les derniers instants de ma mort, je parviendrai à taper mes derniers mots pour vous dire à quoi ça ressemble quand on a un pied dans la tombe et l'autre sous le bureau, une mains dans le cercueil et l'autre au clavier, mais, je n'en suis pas encore là, je me rassure, et vous, peut-être, par la même occasion, qui sait ?
Bref, comme je vous le disais, je ne m'inquiète pas, mais je pourrai faire un test, juste pour voir, et ne rien dire, pas un mot, pas un souffle, pendant une semaine, ou, un peu moins, plutôt...
Ce n'est bien sûr, pas par volonté, mais bien par empêchement...
Ce n'est pas dans un patelin paumé de la Somme, en pleine campagne, de ce fait, où le réseau est aussi difficile à trouver qu'une fourmi alcoolique à 7 pattes en Amazonie, et qui bégaie, de surcroît, et, où internet ne me sera point accessible durant ce merveilleux séjour, un retour au source, une détente avec femmes, poker et chips à volonté, bien que dans ces activités, oui, j'entends bien activités, car je suis un homme-objet que les femmes useront et abuseront à volonté, et donc, dans ces trois activités, une est fausse, une est vraie, et une est partiellement vraie, respectivement...
Je sens que beaucoup de personnes ne tiendront plus à la vie quand à me savoir absent durant tout ce temps avec un pourcentage de mourir pendant ce séjour par un accident de voiture, une asphixie, une dénutrition, ou, pire, une hypoglycémie...
Mais, je vous rassure, je tiens parole, et, dans mon dernier souffle, je tenterai de respirer, une dernière fois, cet air pur et merveilleux qui nous entoure et nous rappelle que sans lui, nous n'existerions pas...
Mais cessons de bavarder inutilement de sujets inintéressants et interminables, la vie, la mort, on a pas fini avec tout ça, on en voit tous les jours, on a l'habitude...
Tenez, par exemple, hier, non, avant-hier pour commencer...
J'ai vomi, très tôt, le matin, parce que j'avais bu, il n'y pas de quoi s'en vanter, mais c'est une technique comme une autre pour éviter de tomber malade le lendemain, on est un peu plus frais en se couchant, et, en se levant, les effets néfastes de l'eau gazeuse se font moins ressentir, ça me fait péter, l'eau gazeuse, en lâchant des gaz infects, même pour moi, pour vous dire, heureusement, je n'aime pas l'eau gazeuse...
Et hiez, tenez, tendez bien la main, et l'oreille, hier, oui, on était samedi, donc, prenons avant-hier, au soir, le vendredi, j'ai fumé, je me suis tellement rempli les poumons que j'étais enfumé, un drôle d'effet, ça ressortait de partout, mais surtout, les narines et la bouche, et, on a beau me dire que c'est mauvais pour la santé, je suis un rebelle, un dur, un vrai, qui n'a pas peur de glisser à chaussettes sur le carrelage, j'vous jure, et, donc, je fume, j'irai presque jusqu'à lever mon majeur de la main droite mais j'ai été élevé dans une tradition catholique, il y a encore des restes, bien qu'aujourd'hui les coutumes sont plutôt cathodiques que catholiques...
Et, donc, hier, je suis allé au cinéma, pour compléter les débauches juvéniles, parce que je suis peut-être jeune mais je suis un nouveau bourgeois grâce à la revente de produits illicites, de stylos à plume, et de thé glacé, et, donc, donc, je suis allé voir un film, au cinéma, ce qui est normal, avec un type, même que le film est bien et je n'ai pas peur de le dire, allez voir ce film, vous ne serez pas déçu...
J'ai aussi rangé mon bureau, tant qu'on est dans les confidences, et ce soir, puisqu'aujourd'hui c'est dimanche, c'est la veille de Noël, ça veut dire que je vais avoir des cadeaux, mais je m'en fous, le plus important, enfin, relativement important, est que je vais couper ma barbe...
Il est vrai que ça ressemble un peu à des poils de cul...
J'ai ainsi remarqué que, oui, lorsque je ne suis pas là, lorsque je ne propose aucun article à mes potentiels lecteurs, fidèles, éphémères, morts ou pas encore nés, leur nombre est plus important que lorsque j'écris un petit mot, un texte, une broutille, versifié ou non...
Enfin, vous savez, les statistiques, ils ne faut pas toujours s'y fier, et ce n'est pas ça qui m'arrêtera, non, même dans les derniers instants de ma mort, je parviendrai à taper mes derniers mots pour vous dire à quoi ça ressemble quand on a un pied dans la tombe et l'autre sous le bureau, une mains dans le cercueil et l'autre au clavier, mais, je n'en suis pas encore là, je me rassure, et vous, peut-être, par la même occasion, qui sait ?
Bref, comme je vous le disais, je ne m'inquiète pas, mais je pourrai faire un test, juste pour voir, et ne rien dire, pas un mot, pas un souffle, pendant une semaine, ou, un peu moins, plutôt...
Ce n'est bien sûr, pas par volonté, mais bien par empêchement...
Ce n'est pas dans un patelin paumé de la Somme, en pleine campagne, de ce fait, où le réseau est aussi difficile à trouver qu'une fourmi alcoolique à 7 pattes en Amazonie, et qui bégaie, de surcroît, et, où internet ne me sera point accessible durant ce merveilleux séjour, un retour au source, une détente avec femmes, poker et chips à volonté, bien que dans ces activités, oui, j'entends bien activités, car je suis un homme-objet que les femmes useront et abuseront à volonté, et donc, dans ces trois activités, une est fausse, une est vraie, et une est partiellement vraie, respectivement...
Je sens que beaucoup de personnes ne tiendront plus à la vie quand à me savoir absent durant tout ce temps avec un pourcentage de mourir pendant ce séjour par un accident de voiture, une asphixie, une dénutrition, ou, pire, une hypoglycémie...
Mais, je vous rassure, je tiens parole, et, dans mon dernier souffle, je tenterai de respirer, une dernière fois, cet air pur et merveilleux qui nous entoure et nous rappelle que sans lui, nous n'existerions pas...
Mais cessons de bavarder inutilement de sujets inintéressants et interminables, la vie, la mort, on a pas fini avec tout ça, on en voit tous les jours, on a l'habitude...
Tenez, par exemple, hier, non, avant-hier pour commencer...
J'ai vomi, très tôt, le matin, parce que j'avais bu, il n'y pas de quoi s'en vanter, mais c'est une technique comme une autre pour éviter de tomber malade le lendemain, on est un peu plus frais en se couchant, et, en se levant, les effets néfastes de l'eau gazeuse se font moins ressentir, ça me fait péter, l'eau gazeuse, en lâchant des gaz infects, même pour moi, pour vous dire, heureusement, je n'aime pas l'eau gazeuse...
Et hiez, tenez, tendez bien la main, et l'oreille, hier, oui, on était samedi, donc, prenons avant-hier, au soir, le vendredi, j'ai fumé, je me suis tellement rempli les poumons que j'étais enfumé, un drôle d'effet, ça ressortait de partout, mais surtout, les narines et la bouche, et, on a beau me dire que c'est mauvais pour la santé, je suis un rebelle, un dur, un vrai, qui n'a pas peur de glisser à chaussettes sur le carrelage, j'vous jure, et, donc, je fume, j'irai presque jusqu'à lever mon majeur de la main droite mais j'ai été élevé dans une tradition catholique, il y a encore des restes, bien qu'aujourd'hui les coutumes sont plutôt cathodiques que catholiques...
Et, donc, hier, je suis allé au cinéma, pour compléter les débauches juvéniles, parce que je suis peut-être jeune mais je suis un nouveau bourgeois grâce à la revente de produits illicites, de stylos à plume, et de thé glacé, et, donc, donc, je suis allé voir un film, au cinéma, ce qui est normal, avec un type, même que le film est bien et je n'ai pas peur de le dire, allez voir ce film, vous ne serez pas déçu...
J'ai aussi rangé mon bureau, tant qu'on est dans les confidences, et ce soir, puisqu'aujourd'hui c'est dimanche, c'est la veille de Noël, ça veut dire que je vais avoir des cadeaux, mais je m'en fous, le plus important, enfin, relativement important, est que je vais couper ma barbe...
Il est vrai que ça ressemble un peu à des poils de cul...
Jeudi 21 décembre 2006 à 11:41
Se déroulera du 1er au 3 février, le Festival de Romans, le premier festival de la création sur Internet...
Je me suis inscrit, dans la catégorie littérature, et la candidature a été validé...
Je vous invite donc, à partir du 31 décembre, à voter pour les sites créatifs que vous préférez dans chaque catégorie, et si vous m'adulez, m'aimez, m'adorez, me chérissez, me cajolez ou avez un quelconque intérêt pour moi, mes écrits et que vous voulez que je devienne riche, célèbre et cocu, votez pour mes textes, mon site, pour moi...
Sinon, je n'insiste pas...
Du dentifrice sur la main, ça donne bonne haleine à la main...
Je me suis inscrit, dans la catégorie littérature, et la candidature a été validé...
Je vous invite donc, à partir du 31 décembre, à voter pour les sites créatifs que vous préférez dans chaque catégorie, et si vous m'adulez, m'aimez, m'adorez, me chérissez, me cajolez ou avez un quelconque intérêt pour moi, mes écrits et que vous voulez que je devienne riche, célèbre et cocu, votez pour mes textes, mon site, pour moi...
Sinon, je n'insiste pas...
Du dentifrice sur la main, ça donne bonne haleine à la main...