Vendredi 17 août 2007 à 18:46

La réalité est que non, je ne vous ai pas abandonné, je ne suis pas perdu au bord de la route attaché à un chêne vu que je suis le seul à pouvoir conduire car je ne prends pas de drogue, pour le moment, et que mon taux d'alcoolémie est toujours égal à zéro (surprenant), mais je ne vous oublie pas...

Cela faisant plus de 10 jours que je n'ai pas donné de mes nouvelles, certains m'ont cru mort, d'autres enterré ou encore revendu dans un ranch texan pour ramasser les crottins de cheval à la cuillère en plastique mais le sort a fait que je n'ai pas pris de poids ces derniers temps et donc je n'ai pas pu penser à tout...

A vrai dire, j'étais très occupé de l'autre côté de l'Equateur a réglé des problèmes diverses comme la guerre, le terrorisme nucléaire et la sècheresse intime de Rogé Cavaillès, sans oublier mes problèmes de cheveux...

Blablabla

Assez parlé, pensons aux choses sérieuses qui se produisent dans notre monde...

Fini les hordes de zombies, voilà des villageois incontrôlables qui forcent les quidams à peser leur cerveau après un nettoyage intensif...

Dans quelques heures, je ne serai plus de ce monde, je me mets en quarantaine, pour, disons, quinze jours, tout au plus, après je reviendrai, peut-être, sans vraiment savoir si je serai décontaminé, ou pas, mais je serai encore plus méchant qu'avant...

L'ai-je vraiment été ?

Bref, trêves de plaisanterie, un bon cigare au fond d'un fauteuil et on oublie tous les tracas quotidiens pour quelques jours...

En vous souhaitant bien du bonheur dans la maison et plein de malheurs aux infos pour mieux apprécier les plantes du jardin et les chats qui se battent sous la table en plastique du voisin...

Lundi 6 août 2007 à 20:44

Je reprends et cite :

"Cher Editeur,

Suite à votre lettre, je tiens à vous répondre. Je l'ai étudiée attentivement mais elle n'a malheureusement pas retenu mon attention. Je vous remercie, tout de même, de tous ces compliments faits au sujet de mon recueil, mais je n'arrive pas trouver la sincérité de vos propos. Votre lettre ne m'est pas directement adressée et encore moins signée ce qui laisse planer quelques doutes sur la réelle volonté de me publier. Une volonté bien plus suspecte quand vous me demandez une somme de 2300 €.

Comment aurai-je la possibilité de trouver 2300 € alors que je ne suis qu'un simple étudiant ? Je n'ai tout simplement pas les moyens de débourser une somme aussi excessive voire injustifée. Oui, injustifiée, dans le sens où je ne trouve pas normal qu'un editeur demande à un auteur de payer sa publication. Si vous désirez tant publier mon manuscrit, qui fait preuve d'une réelle recherche stylistique, ne me demandez pas un tarif aussi exhorbitant.

Je vous remercie de la soi-disante attention portée à mon manuscrit, mais je me vois contraint de ne pas répondre favorablement à votre offre ou projet.

Je vous prie de bien vouloir croire, Cher Editeur, en l'expression de ma respectueuse considération."

Jeudi 2 août 2007 à 18:58

Je reprends et cite :

"Cher Auteur,

Suite à l'envoie de votre recueil de poèmes, je tiens à revenir vers vous. Je l'ai étudié attentivement et il a retenu mon attention : votre travail est habile et fait preuve d'une réelle recherche stylistique. Nous avons particulièrement apprécie la sensibilité et l'émotion qui se dégagent de votre recueil.

Afin de pouvoir en discuter ensemble, je vous invite à me contacter pour envisager une éventuelle collaboration. Je me permets dès à présent de vous signaler que nous fonctionnons avec un forfait participatif de 2300 € toutes taxes comprises, forfait qui correspond aux frais de maquette.

Concernant le diffusion, nous nous engageons à prendre en charge la diffusion et la promotion de votre ouvrage à savoir : référencer le livre sur les sites marchands définis à notre contrat, le répertorier dans notre catalogue de vente, catalogue qui sera envoyé à 1500 particuliers et 500 libraires. Vous aurez également la possibilité de prendre des ouvrages en dépôt pour les proposer à votre entourage.

Dans l'espoir que vous donnerez une suite favorable à ce projet, je vous prie de bien vouloir croire, Cher Auteur, en l'expression de ma respectueuse considération."

Hé bé...

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