Lundi 6 novembre 2006 à 7:33

Je ne m'étais pas endormi au bord d'un lac avec tous ces cygnes batifolant dans l'eau gelée, j'ai plutôt traversé une forêt de cactus en plein désert européen après une guerre violente et sanglante qui reste aux yeux de tous un banal malentendu entre deux diplomates occidentaux...

C'est pas un peu farfelu tout ça ? Une nouvelle semaine démarre et on entre en pleine troisième guerre mondiale glacée, le réchauffement de la planète n'arrange en rien les choses...

Plus que 15 jours à tenir avant de se retrouver à nouveau libre, libre comme l'air...

Je pense que nous devons rouvrir les chasses à l'homme, on expose une liste de personnes humaines néfastes pour notre société et chacun a le droit de l'éliminer, de le remettre à la justice...

Enfin, imaginez que l'on mettre un homme sur cette liste et que, par mégarde, on tue son jumeau, ce serait une situation délicate, mais, ce sont les risques du métier, on reimplanterai le métier de chasseur de primes, qui, en plus d'être payé du Smic reçoit une petite prime selon la tête rapportée...

Une formation dans de grandes écoles seront ouvertes, avec maniement des armes, infiltration, connaissance dans les gadgets et haute technologie, permis de conduire, de tuer, et un p'tit diplôme pour faire bien dans les cvs...

Tout le monde devrait, d'ailleurs, passer cet examen, tout le monde sera ainsi parer pour une guerre éventuelle, une nation emplie de citoyens à tuer...

Nous craignerons énormément de dommages collatéraux, mais, ce sont les risques du métier...

Faudrait arrêter de fumer aussi...

Dimanche 5 novembre 2006 à 19:17

Courir, courir, courir jusqu'à l'essouflement, plus assez de forces pour respirer, mais, dans un dernier effort, après un dernier rassemblement d'énergie, on reprend la route, on saute, on bouscule, on tombe, tête la première à en bouffer l'herbe par la racine...

Ne plus sentir ses jambes, ne plus sentir ses bras, ne plus sentir son ventre, ses mains, ses pieds et sa tête, en pleine anesthésie générale, notre objectif se rapproche, mais, nous ne sommes pas les seuls à envier ce ballon, la partie n'en devient que plus endiablé, bien heureusement...

Alors, comment je fais ?

Je ne sais pas, c'est insctinctif, ça vient de là, de plus loin ou d'ailleurs, de la tête, de l'esprit, ça vient tout seul, sans forcer, sans réfléchir, parfois, car, ce n'est pas tout le temps comme ça, ce n'est pas tous les jours facile, mais c'est plus facile quand on s'emmerde, parce qu'on ne pense à rien, on se laisse voyager par notre état, nos sentiments, notre sensibilité, notre âme, notre coeur ou une bonne paire de couilles...

Sinon, comment je me porte ?

Mal, je n'ai jamais réussi à me porter moi-même, c'est ainsi que je n'ai jamais réussi à me botter les fesses, pas assez souple disait ma mère en tombant de l'échelle sur un matelas mou, wahou mieux que le parc Astérix...

Enfin, où va le monde ?

On pend, on torture, on viole, on tue, on séquestre, on kidnappe, on vole, on assasine, on traumatise, on abandonne, j'préférerai être un éléphanteau mort de faim dans un désert que de subir toutes ces infamies, ça pourrait me blesser, me faire mal, et avoir mal, ça fait mal, un peu comme une piqûre ratée qui infecte le bras...

Ah, un instant, un oncle a débarqué...

Revenons à nos moutons...

D'ailleurs en parlant de moutons, ou de tout autres animaux, éprouvez-vous de la peine en égorgant un cochon, un canard, une poule, en euthanasiant votre chien, chat, poisson rouge, et caetera ?

Avez-vous déjà jeté un chat par la fenêtre pour voir s'il retombe sur ses pattes ? Avez-vous essayé avec un chien en le confondant avec un chat ? Avez-vous tué dans votre vie ? Moi je dis que oui, nous sommes tous des tortionnaires, des assassins, des meurtriers...

Ce moustique n'essayait que de survivre comme vous voudriez survivre dans un monde si vaste...

Cette mouche ne voulait que sortir, se libérer de cette prison vitrée (avouons qu'une mouche n'est pas très intélligente) et voilà...

Voilà, le système de notre société, nous sommes en pleine défaillance de notre monde, les disques sautent, Elvis Presley est mort depuis longtemps, nous devons passer à autre chose...

Nous devons révolutionner notre manière de vivre et accepter toute sorte de nouveaux contacts...

Ne pas se restreindre...

Il faut évoluer, muter, se tranformer...

Nous ne sommes pas encore finalisés, il subiste encore de terribles défauts...

Aaaah je suis en pleine perdition psychologique...

Demain sera une nouvelle journée qui nous rapprochera de la mort...

Samedi 4 novembre 2006 à 1:15

Résurrection


Vendredi 3 novembre 2006 à 7:37

Comme quoi un simple objet peut facilement rendre une homme (ou une femme) heureux, l'emplir de bonheur, lui cacher ses misères, ses chagrins et réconforter son âme pour une modique somme (enfin cela dépend des fluctuations du marché)...

Un homme, un visage, un être, un dieu, une crainte, une idole : Chuck Norris...

Je vous conseille de regarder l'intégrale de Walker Texas Ranger et, si vous en redemandez encore, il y a toujours la diffusion, sur une certaine chaîne, le dimanche midi, juste après les infos...

De quoi vous remonter le moral après quelques catastrophes naturelles, quelques guerres nucléaires ou post-moderne, quelques macchabées congelés ou une horde d'abeilles et fourmis tueuses...

Car, il y aura beau avoir tous ces désastres, Chuck Norris sera toujours vainqueur et vous sortira une bonne blague de derrière les fagots "Si tu recommences encore une fois, tu repartiras avec la bite dans un tupperware"...

Vive Chuck, votez pour lui aux élections présidentielles, cantonales, régionales, délégué de la classe, laissez-le jouer en premier au Trivial Pursuit, au Monopoly, payez-lui un coup à la taverne d'en face et allez à la suivante car il aura bu tout le bar en une gorgée...

Bref, soyez soumis à Chuck, et, même si Chuck ne vous le rendra pas, vous pourrez être heureux de ne pas mourir dans d'atroces souffranes et de ne pas être condamné à deux infinités de Roundhouse Kick...

Trêve de bavardages, nous pourrons parler sérieusement, peut-être, un jour, une nuit, un soir, un matin...

Bonne nuit, et bon courage...

Jeudi 2 novembre 2006 à 7:37

Pas la peine de tergiverser pendant des heures sur le temps et le temps...

Chacun possède son cigare de la grande victoire que nous n'allumeront qu'après la bataille...

Car il ne faut pas vendre la peau de l'ennemi avant de l'avoir tué...

Je ne vous souhaite pas de...

Mais soyez sympa...



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