Certaines théories, ou plutôt, certaines analyses m'ont permis de constater une sorte de loi, un théorème, vous savez, comme Murphy...
J'ai ainsi remarqué que, oui, lorsque je ne suis pas là, lorsque je ne propose aucun article à mes potentiels lecteurs, fidèles, éphémères, morts ou pas encore nés, leur nombre est plus important que lorsque j'écris un petit mot, un texte, une broutille, versifié ou non...
Enfin, vous savez, les statistiques, ils ne faut pas toujours s'y fier, et ce n'est pas ça qui m'arrêtera, non, même dans les derniers instants de ma mort, je parviendrai à taper mes derniers mots pour vous dire à quoi ça ressemble quand on a un pied dans la tombe et l'autre sous le bureau, une mains dans le cercueil et l'autre au clavier, mais, je n'en suis pas encore là, je me rassure, et vous, peut-être, par la même occasion, qui sait ?
Bref, comme je vous le disais, je ne m'inquiète pas, mais je pourrai faire un test, juste pour voir, et ne rien dire, pas un mot, pas un souffle, pendant une semaine, ou, un peu moins, plutôt...
Ce n'est bien sûr, pas par volonté, mais bien par empêchement...
Ce n'est pas dans un patelin paumé de la Somme, en pleine campagne, de ce fait, où le réseau est aussi difficile à trouver qu'une fourmi alcoolique à 7 pattes en Amazonie, et qui bégaie, de surcroît, et, où internet ne me sera point accessible durant ce merveilleux séjour, un retour au source, une détente avec femmes, poker et chips à volonté, bien que dans ces activités, oui, j'entends bien activités, car je suis un homme-objet que les femmes useront et abuseront à volonté, et donc, dans ces trois activités, une est fausse, une est vraie, et une est partiellement vraie, respectivement...
Je sens que beaucoup de personnes ne tiendront plus à la vie quand à me savoir absent durant tout ce temps avec un pourcentage de mourir pendant ce séjour par un accident de voiture, une asphixie, une dénutrition, ou, pire, une hypoglycémie...
Mais, je vous rassure, je tiens parole, et, dans mon dernier souffle, je tenterai de respirer, une dernière fois, cet air pur et merveilleux qui nous entoure et nous rappelle que sans lui, nous n'existerions pas...
Mais cessons de bavarder inutilement de sujets inintéressants et interminables, la vie, la mort, on a pas fini avec tout ça, on en voit tous les jours, on a l'habitude...
Tenez, par exemple, hier, non, avant-hier pour commencer...
J'ai vomi, très tôt, le matin, parce que j'avais bu, il n'y pas de quoi s'en vanter, mais c'est une technique comme une autre pour éviter de tomber malade le lendemain, on est un peu plus frais en se couchant, et, en se levant, les effets néfastes de l'eau gazeuse se font moins ressentir, ça me fait péter, l'eau gazeuse, en lâchant des gaz infects, même pour moi, pour vous dire, heureusement, je n'aime pas l'eau gazeuse...
Et hiez, tenez, tendez bien la main, et l'oreille, hier, oui, on était samedi, donc, prenons avant-hier, au soir, le vendredi, j'ai fumé, je me suis tellement rempli les poumons que j'étais enfumé, un drôle d'effet, ça ressortait de partout, mais surtout, les narines et la bouche, et, on a beau me dire que c'est mauvais pour la santé, je suis un rebelle, un dur, un vrai, qui n'a pas peur de glisser à chaussettes sur le carrelage, j'vous jure, et, donc, je fume, j'irai presque jusqu'à lever mon majeur de la main droite mais j'ai été élevé dans une tradition catholique, il y a encore des restes, bien qu'aujourd'hui les coutumes sont plutôt cathodiques que catholiques...
Et, donc, hier, je suis allé au cinéma, pour compléter les débauches juvéniles, parce que je suis peut-être jeune mais je suis un nouveau bourgeois grâce à la revente de produits illicites, de stylos à plume, et de thé glacé, et, donc, donc, je suis allé voir un film, au cinéma, ce qui est normal, avec un type, même que le film est bien et je n'ai pas peur de le dire, allez voir ce film, vous ne serez pas déçu...
J'ai aussi rangé mon bureau, tant qu'on est dans les confidences, et ce soir, puisqu'aujourd'hui c'est dimanche, c'est la veille de Noël, ça veut dire que je vais avoir des cadeaux, mais je m'en fous, le plus important, enfin, relativement important, est que je vais couper ma barbe...
Il est vrai que ça ressemble un peu à des poils de cul...
Dimanche 24 décembre 2006 à 1:40
Jeudi 21 décembre 2006 à 11:41
Se déroulera du 1er au 3 février, le Festival de Romans, le premier festival de la création sur Internet...
Je me suis inscrit, dans la catégorie littérature, et la candidature a été validé...
Je vous invite donc, à partir du 31 décembre, à voter pour les sites créatifs que vous préférez dans chaque catégorie, et si vous m'adulez, m'aimez, m'adorez, me chérissez, me cajolez ou avez un quelconque intérêt pour moi, mes écrits et que vous voulez que je devienne riche, célèbre et cocu, votez pour mes textes, mon site, pour moi...
Sinon, je n'insiste pas...
Du dentifrice sur la main, ça donne bonne haleine à la main...
Je me suis inscrit, dans la catégorie littérature, et la candidature a été validé...
Je vous invite donc, à partir du 31 décembre, à voter pour les sites créatifs que vous préférez dans chaque catégorie, et si vous m'adulez, m'aimez, m'adorez, me chérissez, me cajolez ou avez un quelconque intérêt pour moi, mes écrits et que vous voulez que je devienne riche, célèbre et cocu, votez pour mes textes, mon site, pour moi...
Sinon, je n'insiste pas...
Du dentifrice sur la main, ça donne bonne haleine à la main...
Mercredi 20 décembre 2006 à 0:12
Cela ne fait pas de doute...
Un gros bonhomme qui se cache derrière une grosse barbe blanche, qui fait plein de cadeaux aux enfants pour les amadouer, qui les prend sur ses genoux et n'hésite pas à demander des bisous, offre plein de bonbons et les gosses se laissent berner alors qu'on leur a dit qu'il ne fallait pas accepter des bonbons d'un inconnu...
Le Père Noël, un inconnu ? Oui, on ne connait pas son véritable nom et son identité est bien souvent usurpé par n'importe qui, qui use et abuse de ce personnage pour approcher les gosses sans scrupules...
Mais personne ne dit rien, c'est normal, on pratique cela depuis des décennies sans se rendre compte de la liberté du champ d'action qu'on laisse aux plus dangereux prédateurs d'enfants...
Croyez-moi, le Père Noël est dangereux pour les enfants, il faut l'interdire et brûler son costume dans de gigantesques autodafés surtout depuis qu'il est sponsorisé par une abominable marque de boisson capitaliste...
Demain, je vais jouer au pédophile...
Un gros bonhomme qui se cache derrière une grosse barbe blanche, qui fait plein de cadeaux aux enfants pour les amadouer, qui les prend sur ses genoux et n'hésite pas à demander des bisous, offre plein de bonbons et les gosses se laissent berner alors qu'on leur a dit qu'il ne fallait pas accepter des bonbons d'un inconnu...
Le Père Noël, un inconnu ? Oui, on ne connait pas son véritable nom et son identité est bien souvent usurpé par n'importe qui, qui use et abuse de ce personnage pour approcher les gosses sans scrupules...
Mais personne ne dit rien, c'est normal, on pratique cela depuis des décennies sans se rendre compte de la liberté du champ d'action qu'on laisse aux plus dangereux prédateurs d'enfants...
Croyez-moi, le Père Noël est dangereux pour les enfants, il faut l'interdire et brûler son costume dans de gigantesques autodafés surtout depuis qu'il est sponsorisé par une abominable marque de boisson capitaliste...
Demain, je vais jouer au pédophile...
Dimanche 17 décembre 2006 à 19:13
Ce n'est pas compliqué, quand on commence tôt, on ne peut plus s'arrêter dans ce tourment des dépendances aléatoires, une déchéance totale où la jeunesse se perd pour découvrir de nouveaux horizons cérébraux, pour s'évader un moment dans un tourbillon infernal suivi de maux de têtes affreux et de sensations désagréables, ou, encore, pour faire comme les autres, parce que ça fait classe d'être déchéant et de vomir sur les pieds d'inconnus ou de serrer la pince à une machine à café, mais, c'est presque normal...
Presque...
Et, moi, je dois sûrement faire partie de cette jeune population ne ratant pas une occasion pour se troncher la gueule à coup de biture, d'alcools à plus de 70° à en devenir malade, à en être simplement joyeux, à déguster ou à dégueuler quitte à le faire devant les parents ou les grands-parents ou au milieu d'autres jeunes tout aussi débauchés qu'un troupeau de moutons courant après les papillons...
Certains ont des astuces pour éviter les inconviénients, d'autres ont des techniques pour s'arrêter au bon moment, enfin, il y a toujours les inconscients qui ne font pas attention où ils posent leurs pieds, et, bien souvent, ils atterrissent la gueule la première dans la terre...
Souvent, c'est occasionnel, parfois, c'est quotidien, et l'on sombre dans un océan frelaté où le bock de bière, le shooter ou les bouteilles vides se cognent, s'entrechoquent, se casse, se brise comme une tête rencontrant un coin de table mal placé...
Les coins de tables, voilà la traitrise de notre monde actuel...
Et encore je ne vous parle pas de tout ceux qui claquent leur argent dans un pareil liquide et encore moins de ceux qui achètent leurs meubles et autres coins de tables dans des magasins spécialiés à un prix exhorbitant, juste pour la marque que personne ne verra gravé sous le pied de table...
Les pieds de table, voilà la solution pour nous sortir de cette complète déchéance juvénile, et on ne pourra dire que les vieux ne nous ont pas prévenu...
Mais ils ont fait leur temps, nous on en a encore beaucoup devant nous...
Presque...
Et, moi, je dois sûrement faire partie de cette jeune population ne ratant pas une occasion pour se troncher la gueule à coup de biture, d'alcools à plus de 70° à en devenir malade, à en être simplement joyeux, à déguster ou à dégueuler quitte à le faire devant les parents ou les grands-parents ou au milieu d'autres jeunes tout aussi débauchés qu'un troupeau de moutons courant après les papillons...
Certains ont des astuces pour éviter les inconviénients, d'autres ont des techniques pour s'arrêter au bon moment, enfin, il y a toujours les inconscients qui ne font pas attention où ils posent leurs pieds, et, bien souvent, ils atterrissent la gueule la première dans la terre...
Souvent, c'est occasionnel, parfois, c'est quotidien, et l'on sombre dans un océan frelaté où le bock de bière, le shooter ou les bouteilles vides se cognent, s'entrechoquent, se casse, se brise comme une tête rencontrant un coin de table mal placé...
Les coins de tables, voilà la traitrise de notre monde actuel...
Et encore je ne vous parle pas de tout ceux qui claquent leur argent dans un pareil liquide et encore moins de ceux qui achètent leurs meubles et autres coins de tables dans des magasins spécialiés à un prix exhorbitant, juste pour la marque que personne ne verra gravé sous le pied de table...
Les pieds de table, voilà la solution pour nous sortir de cette complète déchéance juvénile, et on ne pourra dire que les vieux ne nous ont pas prévenu...
Mais ils ont fait leur temps, nous on en a encore beaucoup devant nous...
Vendredi 15 décembre 2006 à 22:41
Et comme vous pouvez le constater, étant mort, je ne peux plus dire grand chose...