Mercredi 6 décembre 2006 à 0:28
Je veux, ce soir, vous faire partager un petit truc, je fais ça pour me vanter, pour vous dire que moi je suis quelqu'un d'important, sans pour autant prendre la grosse tête car je suis drôle, vous l'aurez remarqué...
Et donc, ce soir, je veux vous faire partager un article paru dans le journal Métro, l'édition Lilloise bien sûr, parce que je suis attaché à mon pays même si je prône l'indépendance de la Picardie : Picardia Independanza (n'oubliez pas d'ailleurs la sortie de leur prochain album : Pamplemousse Mécanique)...
Et voilà, ce soir, l'article que je veux vous faire partager, pour vendre mon livre, mon bouquin, mon recueil, le faisant passer pour le recueil sociologique ultime donnant les clés et les solutions des mystères de l'adolescence, le tout, vu par un adolescent à la barbe naissante même...
Comme quoi le miracle est toujours possible, et, pas seulement dans la cour des miracles que je vous recommande fortement, vous pourrez peut-être y rencontrer Nathalie...
Maintenant que tout est dit et qu'il n'y a plus rien à rajouter, il a toujours été dit (même par Louis-Philippe dit La Poire) "Un dessin vaut mieux qu'un long discours"...
Mais, je vous préviens, ceci n'est pas un dessin :
Pas plus clair, pas plus net, tout est dit, rien d'autres à ajouter...
Je me permets de vous donner d'autres nouvelles, comme le départ de la maudite cousine, mon premier cours de chant, et la disparition d'un mythe...
Je désire tout de même rester jusqu'à la fin pour saluer toute l'équipe du film et je vous invite à me rejoindre dans la prochaine grande aventure de notre temps qui ne sera, pour sûr, pas dépourvue d'une intrigue encore plus intriguante, d'un suspense encore plus suspendu, d'une action encore plus actionnée et d'un charisme tout autant charismatique, sans oublier une supercherie toujours aussi chère...
Comme dirait certains dont je ne voudrai divulguer le nom pour les mêmes raisons que précédemment, tout ceci est existentiel mais existe aussi en rose...
Lundi 4 décembre 2006 à 0:27
Que d'aventures, que de rebondissements dans un dimanche de folie...
Tout commençait normalement par une petite larme coulée sur un coussin par des images fracassantes d'ennemis pactisant un soir de Noël, puis un déluge d'eau sur une peau rugueuse avant la fin de cette tranquillité...
Une cousine de Mère-Grand, âgé de 60 ans (10 de moins que Mère-Grand), s'inscruste juste avant que l'on ne commence notre repas dominical traditionnel, elle se siffle deux whiskys et on critique les Grands-Parents qui deviennent de plus en plus inquiétants dans leurs comportements, on se croirait à l'école, en conseil de discipline, ah le bon vieux temps des conneries de jeunesse qui nous rattrape à la vieillesse...
Elle se casse, la cousine, mais, on apprend que Mère-Grand s'est cassée on ne sait où, inquiétant surtout que ses derniers propos dans une conversation avec sa cousine furent :
"Je vais me suicider
- Et bien va te laver alors, on aime pas les gens qui puent à l'hôpital
- Comment tu peux dire ça ? Tu as senti mon trou de balle ?"
Dire que peu de temps auparavant elles étaient comme queues et chemises à discuter de leur sexualité "Tu te fais des plaisirs solitaires ?", nous ne connaitrons jamais la réponse, j'en suis navré, vous qui êtes si curieux...
Puis de file en aiguille, de bastons en engueulades, la cousine se retrouve abandonnée sur le parvis de la gare, seule elle flippe comme une mangouste au milieu d'un champ de phacochères, elle parvient à nous joindre au téléphone...
Enfin, je dis nous, c'est pas vraiment moi...
Elle débarque à la maison, elle pue l'alcool, chiale pendant un bon moment, rit, fouille dans le frigo parce qu'elle a faim et demande à rester quelques jours...
Bref, pas gênée, ainsi, on me confie la mission de la surveiller, de lui passer la corde au cou et de se débarasser du corps selon les techniques habituelles en cas de problème, la routine vous dirai-je...
Mais, moi, tout ce que je voulais c'était trouver une solution pour me débarasser de cette vieille chatte, qui pue, qui perd ses poils, qui bave, une méthode radicale pour ne pas la faire souffrir, ou tout simplement un moyen de m'en débarasser sans éveiller les soupçons sur un crime possible...
Remarquez par ailleurs un dernier changement, magique, du beau travail, j'aime beaucoup, c'est plus clair, ça change, et vous aimerez...
Si vous n'aimez pas, vous pouvez toujours revenir à l'ancien style, plus sombre...
Tout commençait normalement par une petite larme coulée sur un coussin par des images fracassantes d'ennemis pactisant un soir de Noël, puis un déluge d'eau sur une peau rugueuse avant la fin de cette tranquillité...
Une cousine de Mère-Grand, âgé de 60 ans (10 de moins que Mère-Grand), s'inscruste juste avant que l'on ne commence notre repas dominical traditionnel, elle se siffle deux whiskys et on critique les Grands-Parents qui deviennent de plus en plus inquiétants dans leurs comportements, on se croirait à l'école, en conseil de discipline, ah le bon vieux temps des conneries de jeunesse qui nous rattrape à la vieillesse...
Elle se casse, la cousine, mais, on apprend que Mère-Grand s'est cassée on ne sait où, inquiétant surtout que ses derniers propos dans une conversation avec sa cousine furent :
"Je vais me suicider
- Et bien va te laver alors, on aime pas les gens qui puent à l'hôpital
- Comment tu peux dire ça ? Tu as senti mon trou de balle ?"
Dire que peu de temps auparavant elles étaient comme queues et chemises à discuter de leur sexualité "Tu te fais des plaisirs solitaires ?", nous ne connaitrons jamais la réponse, j'en suis navré, vous qui êtes si curieux...
Puis de file en aiguille, de bastons en engueulades, la cousine se retrouve abandonnée sur le parvis de la gare, seule elle flippe comme une mangouste au milieu d'un champ de phacochères, elle parvient à nous joindre au téléphone...
Enfin, je dis nous, c'est pas vraiment moi...
Elle débarque à la maison, elle pue l'alcool, chiale pendant un bon moment, rit, fouille dans le frigo parce qu'elle a faim et demande à rester quelques jours...
Bref, pas gênée, ainsi, on me confie la mission de la surveiller, de lui passer la corde au cou et de se débarasser du corps selon les techniques habituelles en cas de problème, la routine vous dirai-je...
Mais, moi, tout ce que je voulais c'était trouver une solution pour me débarasser de cette vieille chatte, qui pue, qui perd ses poils, qui bave, une méthode radicale pour ne pas la faire souffrir, ou tout simplement un moyen de m'en débarasser sans éveiller les soupçons sur un crime possible...
Remarquez par ailleurs un dernier changement, magique, du beau travail, j'aime beaucoup, c'est plus clair, ça change, et vous aimerez...
Si vous n'aimez pas, vous pouvez toujours revenir à l'ancien style, plus sombre...
Dimanche 3 décembre 2006 à 1:34
Mon précédent article était mon centième, donc le présent, celui que j'écris, là, maintenant, est mon cent et unième article, quelle bonne nouvelle...
J'ai tenu jusque là et pour fêter ça, non, c'est idiot de fêter ce genre de choses, pourquoi s'arrêter là ?
J'écris...
Comme toujours, c'est tout ce que je sais faire de mes dix doigts, taper comme un défenestré, oui défenestré, je n'ai pas peur des mots, je n'ai pas peur des lettres, ni des phrases, ni de la ponctuation, je tape, mes dix doigts tapent sans relâche ce clavier blanc, blanc comme le blanc de mes yeux, je ralentis car la musique ralentit, ah je viens de prouver que mes doigts suivent un cetains rythme, mon écriture est rythmé...
Mes textes seraient-ils musicaux ?
Sont-ce des partitions à suivre et à chanter ?
J'en doute, mais, mais, mais, vous ferez ce qu'il vous plaira, j'écris sans écrire ces mots que vous lisez sans les lire, car lira qui lira jusqu'au bout de mes pensées éparpillées, je ne sais où mais pas là devant moi, elles fuient, une fuite dans ma tête, ça fuit, dépressurisation, pourquoi atterrir d'urgence ?
Allez plus la peine de dire un mot de plus, vous me comprendrez, je vous comprends, vous ne lirez que ce qui vous plait, mais, vous ne comprendrez pas forcément ce que vous lirez, mais cela peut toujours vous plaire, il y a une énorme différence entre tout cela, entre l'émotion, le ressenti et la compréhension...
Dire que le personnage principal d'Orange Mécanique a le même prénom que moi, n'est-ce pas dingue ?
Je rappelle certains, si cela peut les rassurer, que je suis vierge...
J'ai tenu jusque là et pour fêter ça, non, c'est idiot de fêter ce genre de choses, pourquoi s'arrêter là ?
J'écris...
Comme toujours, c'est tout ce que je sais faire de mes dix doigts, taper comme un défenestré, oui défenestré, je n'ai pas peur des mots, je n'ai pas peur des lettres, ni des phrases, ni de la ponctuation, je tape, mes dix doigts tapent sans relâche ce clavier blanc, blanc comme le blanc de mes yeux, je ralentis car la musique ralentit, ah je viens de prouver que mes doigts suivent un cetains rythme, mon écriture est rythmé...
Mes textes seraient-ils musicaux ?
Sont-ce des partitions à suivre et à chanter ?
J'en doute, mais, mais, mais, vous ferez ce qu'il vous plaira, j'écris sans écrire ces mots que vous lisez sans les lire, car lira qui lira jusqu'au bout de mes pensées éparpillées, je ne sais où mais pas là devant moi, elles fuient, une fuite dans ma tête, ça fuit, dépressurisation, pourquoi atterrir d'urgence ?
Allez plus la peine de dire un mot de plus, vous me comprendrez, je vous comprends, vous ne lirez que ce qui vous plait, mais, vous ne comprendrez pas forcément ce que vous lirez, mais cela peut toujours vous plaire, il y a une énorme différence entre tout cela, entre l'émotion, le ressenti et la compréhension...
Dire que le personnage principal d'Orange Mécanique a le même prénom que moi, n'est-ce pas dingue ?
Je rappelle certains, si cela peut les rassurer, que je suis vierge...
Mercredi 29 novembre 2006 à 0:11
...est tombée sur ma tête, sous l'abri-bus, je l'ai vu dans le reflet de la publicité pour les attaques cardio-vasculaires, elle est tombée par terre quand j'ai frotté, elle a voulu remonter le long de la publicité, mais, elle glissait, puis elle a pris refuge auprès d'une feuille morte...
Je ne suis pas un assassin, mais j'ai pris le bus...
Je n'ai plus de chocolats, le petit pain était grillé comme le feu pour le bus...
Contrôlé, j'avais mes papiers, "Tout va bien", je ne m'inquiète pas, pourquoi m'inquiéterai-je ?
Ce monde est injuste, on prend peur pour un rien, une araignée, un bus, un contrôleur, une racaille, une voiture, un feu, une pluie, de l'eau, quand prendras-t-on peur de la vie ?
Demain quand la mort nous séparera, je ne serai qu'une vie sans mort, une mort sans vie, un corps sans vie où la mort d'un corps vivant, la vie d'un corps sans mort serait plus mort qu'un corps de vie mourant ou de la vie mourante d'un corps...
Corps et âme au fin fond de ton précipice abîme la moitié de ton être écorché par la mort de l'autre, quelle vie !
Janet !
Je ne suis pas un assassin, mais j'ai pris le bus...
Je n'ai plus de chocolats, le petit pain était grillé comme le feu pour le bus...
Contrôlé, j'avais mes papiers, "Tout va bien", je ne m'inquiète pas, pourquoi m'inquiéterai-je ?
Ce monde est injuste, on prend peur pour un rien, une araignée, un bus, un contrôleur, une racaille, une voiture, un feu, une pluie, de l'eau, quand prendras-t-on peur de la vie ?
Demain quand la mort nous séparera, je ne serai qu'une vie sans mort, une mort sans vie, un corps sans vie où la mort d'un corps vivant, la vie d'un corps sans mort serait plus mort qu'un corps de vie mourant ou de la vie mourante d'un corps...
Corps et âme au fin fond de ton précipice abîme la moitié de ton être écorché par la mort de l'autre, quelle vie !
Janet !
Dimanche 26 novembre 2006 à 18:36
J'hésite, je n'hésite plus, aujourd'hui, je vais vous parler...
Vous écrire quelques mots facile à propos d'un être que tout le monde pourra oublier d'ici quelques minutes...
Non, je ne vous parlerai pas de ma chatte qui est vieille, qui perd ses poils et qui bave constamment laissant de drôles de traces sur les draps...
Je vais vous parler d'un chien, ou plutôt, une chienne, cette chienne est née comme tous les autres chiens de ce monde, normalement constituée, elle eut une enfance tendre et joviale dans sa petite famille d'accueil, une petite famille de ce qu'il y a de plus normale, la cohabitation était pacifiques avec le chat noir et peureux, mais, voilà qu'un jour, cette chienne, nommée Choupette, est atteinte d'une sorte de maladie, elle fut atteinte rapidement de graves rhumatismes, qui, au début semblaient pourtant benines, mais, qui au fil du temps, donnaient à s'inquiéter, surtout au vu qu'elle ne pouvait plus poser sa patte sur cette bonne vieille terre ou le carrelage du rez-de-chaussée...
Alors, inquiets, tous les membres de la famille se réunirent pour décider du sort de cette pauvre chienne, et, il fut conclut à l'unanimité de l'emmener chez le vétérinaire, celui-ci conclut à son tour qu'elle ne pouvait pas rester comme ça, car, ces rhumatismes s'étendraient facilement et nonchalamment vers le reste du corps ce qui l'empêcherait de se mouvoir correctement ou, pire, lui donnerait la mort...
Une opération fut donc effectuée pour redonner une deuxième jeunesse à cette chienne, on lui coupa la patte...
Elle fut ainsi renommée non-officiellement, Tripette...
Et nous hébergeons cette chienne durant quelques jours, à la maison...
Vous écrire quelques mots facile à propos d'un être que tout le monde pourra oublier d'ici quelques minutes...
Non, je ne vous parlerai pas de ma chatte qui est vieille, qui perd ses poils et qui bave constamment laissant de drôles de traces sur les draps...
Je vais vous parler d'un chien, ou plutôt, une chienne, cette chienne est née comme tous les autres chiens de ce monde, normalement constituée, elle eut une enfance tendre et joviale dans sa petite famille d'accueil, une petite famille de ce qu'il y a de plus normale, la cohabitation était pacifiques avec le chat noir et peureux, mais, voilà qu'un jour, cette chienne, nommée Choupette, est atteinte d'une sorte de maladie, elle fut atteinte rapidement de graves rhumatismes, qui, au début semblaient pourtant benines, mais, qui au fil du temps, donnaient à s'inquiéter, surtout au vu qu'elle ne pouvait plus poser sa patte sur cette bonne vieille terre ou le carrelage du rez-de-chaussée...
Alors, inquiets, tous les membres de la famille se réunirent pour décider du sort de cette pauvre chienne, et, il fut conclut à l'unanimité de l'emmener chez le vétérinaire, celui-ci conclut à son tour qu'elle ne pouvait pas rester comme ça, car, ces rhumatismes s'étendraient facilement et nonchalamment vers le reste du corps ce qui l'empêcherait de se mouvoir correctement ou, pire, lui donnerait la mort...
Une opération fut donc effectuée pour redonner une deuxième jeunesse à cette chienne, on lui coupa la patte...
Elle fut ainsi renommée non-officiellement, Tripette...
Et nous hébergeons cette chienne durant quelques jours, à la maison...