Hier, j'ai eu une très bonne nouvelle, j'étais heureux, j'étais content, cocu mais content, et, pourtant, je ne suis pas allé voir les p'tites femmes de pigalle...
J'avais des choses, dans ma tête, mon âme, mon esprit, qui hantaient mes journées, mes nuits, qui occupaient mon temps et mon esprit, et, il est dingue, comme en si peu de temps (environ 3 secondes et 84 centièmes) tout cela a pu disparaître...
Une désillusion, un rêve brisé, un emerveillement désenchanté, un amour perdu, un chagrin oublié...
D'un côté, tant mieux, il ne vaut mieux pas s'enfoncer dans de telles aventures, pour se retrouver mort au milieu d'une foule pressée, allongée dans une piscine vide, ou se laisser bouffer par les moustiques une nuit d'été...
D'un autre, peut-être que tout aurait pu changer, qu'une histoire aurait pu s'inventer, et, même si cela ne durait pas une éternité, cela aurait pu être passionnant, qui sait ?
Que sais-je ? Qui pourrait me le dire ? Rien, ni personne, cela restera un secret mystérieux, une découverte inachevée, un tombeau enfoui, un problème insolvable...
En attendant, je réfléchis, peut-être de trop, mais, ça bouge à l'intérieur de la tête, et je voudrai que ça s'extériorise, que mes bras bougent également, puis mes jambes, et que le monde, le paysage, la vie, bougent autour de moi...
C'est peut-être trop demandé...
Bref, je vais arrêter là, je vais m'arrêter là, et attendre demain ou après-demain, ou encore le jour d'après, et je m'armerai de patience...
Jeudi 9 novembre 2006 à 19:26
Jeudi 9 novembre 2006 à 7:28
Je pourrai commencer à raconter des trucs cochons, pour faire bander les poivreaux et exciter les maquerelles, à l'aide de mon Zippo American Trucker qui fait de moi The King Of The Road, je parcours les couloirs de la maison et trébuche sur un tabouret...
Mais tabouret, minuscule, une sorte de marche ambulante pour accèder à des endroits presque in accessibles...
Pourtant, j'en ai eu des souvenirs avec ce tabouret, je me souviens que je m'amusais avec étant gosse, mais je ne me souviens plus ce que je faisais exactement avec, d'un côté, c'est peut-être mieux comme ça...
La barbe, elle pousse, et ne s'arrête pas, je lui donne carte blanche jusqu'à nouvel ordre, elle me tiendra chaud l'hiver et me donnera un air moins fragile, on me regarde déjà de travers ou on fuit mon regard, comme si j'étais un montre tout droit sorti d'une foire surnaturelle, je ne fais pourtant de mal à personne, mais les gens se blessent d'eux-mêmes en me préjugeant, les idiots...
Et pourtant, je sais, que, là au fond, caché derrière un drap ou un mur, se cache la personne qui n'attend que ça, qui n'attend que cet obstacle disparaisse, pour envisager une nouvelle vision, sur un nouveau paysage, un nouveau départ, de nouveaux horizons...
Le drap est fin, le mur est épais, mais, à travers, on ne voit rien, on n'entend rien, et, on ne sait pas où il se trouve...
Comme l'acharnement d'une mouche tapant contre une vitre, comme un moucheron attiré par la lumière de l'écran, d'une ampoule, d'un lampadaire...
Pour finir, je terminerai ma vie, mort, comme tout le monde...
Mais tabouret, minuscule, une sorte de marche ambulante pour accèder à des endroits presque in accessibles...
Pourtant, j'en ai eu des souvenirs avec ce tabouret, je me souviens que je m'amusais avec étant gosse, mais je ne me souviens plus ce que je faisais exactement avec, d'un côté, c'est peut-être mieux comme ça...
La barbe, elle pousse, et ne s'arrête pas, je lui donne carte blanche jusqu'à nouvel ordre, elle me tiendra chaud l'hiver et me donnera un air moins fragile, on me regarde déjà de travers ou on fuit mon regard, comme si j'étais un montre tout droit sorti d'une foire surnaturelle, je ne fais pourtant de mal à personne, mais les gens se blessent d'eux-mêmes en me préjugeant, les idiots...
Et pourtant, je sais, que, là au fond, caché derrière un drap ou un mur, se cache la personne qui n'attend que ça, qui n'attend que cet obstacle disparaisse, pour envisager une nouvelle vision, sur un nouveau paysage, un nouveau départ, de nouveaux horizons...
Le drap est fin, le mur est épais, mais, à travers, on ne voit rien, on n'entend rien, et, on ne sait pas où il se trouve...
Comme l'acharnement d'une mouche tapant contre une vitre, comme un moucheron attiré par la lumière de l'écran, d'une ampoule, d'un lampadaire...
Pour finir, je terminerai ma vie, mort, comme tout le monde...
Mercredi 8 novembre 2006 à 7:15
Je suis prêt.
Lynchez ou vénérez-moi...
Mardi 7 novembre 2006 à 7:41
Comme un bout de pain entre nos mains, comme un jus de citron dans un verre ou un chien sans laisse sur une île déserte...
Caché dans les couettes de mon lit, je m'endors en écoutant un peu de musique, mais je ne rêve pas, non, pas cette fois, je m'endors, me repose et récupère...
Ce qui fait que, aujourd'hui, je suis en pleine forme, prêt à attaquer une nouvelle journée...
Prêt à la finir, et prêt à tout pour parvenir à mes fins...
Aujourd'hui, deuxième jour de la semaine, je n'entreprends pas grand chose, je projette seulement quelques plans dans un futur proche, j'imagine un rendez-vous, et, accessoirement, je deviens riche et célèbre...
Enfin, ce n'est pas en passant mon temps à jouer aux jeux vidéos que je parviendrai à accomplir tous ces objectifs, mais, je suis jeune, j'ai encore le temps, j'ai donc le droit de me faire plaisir de temps à autres, pour dire de passer le temps, de me défouler, et, de penser à autre chose...
J'éspère te revoir, toi, là, qui ne me lit pas, te prendre par la main et t'emmener dans mes pensées les plus secrètes, une sorte de clin d'oeil à tous ces moments désespérants et pathétiques, là où je ne chante pas faux, là où les maux n'existent pas, là où les mots ne suffisent pas...
Mais, tu ne me lis pas, je ne me relis pas, tu ne viens pas, je ne te cherche pas...
Caché dans les couettes de mon lit, je m'endors en écoutant un peu de musique, mais je ne rêve pas, non, pas cette fois, je m'endors, me repose et récupère...
Ce qui fait que, aujourd'hui, je suis en pleine forme, prêt à attaquer une nouvelle journée...
Prêt à la finir, et prêt à tout pour parvenir à mes fins...
Aujourd'hui, deuxième jour de la semaine, je n'entreprends pas grand chose, je projette seulement quelques plans dans un futur proche, j'imagine un rendez-vous, et, accessoirement, je deviens riche et célèbre...
Enfin, ce n'est pas en passant mon temps à jouer aux jeux vidéos que je parviendrai à accomplir tous ces objectifs, mais, je suis jeune, j'ai encore le temps, j'ai donc le droit de me faire plaisir de temps à autres, pour dire de passer le temps, de me défouler, et, de penser à autre chose...
J'éspère te revoir, toi, là, qui ne me lit pas, te prendre par la main et t'emmener dans mes pensées les plus secrètes, une sorte de clin d'oeil à tous ces moments désespérants et pathétiques, là où je ne chante pas faux, là où les maux n'existent pas, là où les mots ne suffisent pas...
Mais, tu ne me lis pas, je ne me relis pas, tu ne viens pas, je ne te cherche pas...
Lundi 6 novembre 2006 à 7:33
Je ne m'étais pas endormi au bord d'un lac avec tous ces cygnes batifolant dans l'eau gelée, j'ai plutôt traversé une forêt de cactus en plein désert européen après une guerre violente et sanglante qui reste aux yeux de tous un banal malentendu entre deux diplomates occidentaux...
C'est pas un peu farfelu tout ça ? Une nouvelle semaine démarre et on entre en pleine troisième guerre mondiale glacée, le réchauffement de la planète n'arrange en rien les choses...
Plus que 15 jours à tenir avant de se retrouver à nouveau libre, libre comme l'air...
Je pense que nous devons rouvrir les chasses à l'homme, on expose une liste de personnes humaines néfastes pour notre société et chacun a le droit de l'éliminer, de le remettre à la justice...
Enfin, imaginez que l'on mettre un homme sur cette liste et que, par mégarde, on tue son jumeau, ce serait une situation délicate, mais, ce sont les risques du métier, on reimplanterai le métier de chasseur de primes, qui, en plus d'être payé du Smic reçoit une petite prime selon la tête rapportée...
Une formation dans de grandes écoles seront ouvertes, avec maniement des armes, infiltration, connaissance dans les gadgets et haute technologie, permis de conduire, de tuer, et un p'tit diplôme pour faire bien dans les cvs...
Tout le monde devrait, d'ailleurs, passer cet examen, tout le monde sera ainsi parer pour une guerre éventuelle, une nation emplie de citoyens à tuer...
Nous craignerons énormément de dommages collatéraux, mais, ce sont les risques du métier...
Faudrait arrêter de fumer aussi...
C'est pas un peu farfelu tout ça ? Une nouvelle semaine démarre et on entre en pleine troisième guerre mondiale glacée, le réchauffement de la planète n'arrange en rien les choses...
Plus que 15 jours à tenir avant de se retrouver à nouveau libre, libre comme l'air...
Je pense que nous devons rouvrir les chasses à l'homme, on expose une liste de personnes humaines néfastes pour notre société et chacun a le droit de l'éliminer, de le remettre à la justice...
Enfin, imaginez que l'on mettre un homme sur cette liste et que, par mégarde, on tue son jumeau, ce serait une situation délicate, mais, ce sont les risques du métier, on reimplanterai le métier de chasseur de primes, qui, en plus d'être payé du Smic reçoit une petite prime selon la tête rapportée...
Une formation dans de grandes écoles seront ouvertes, avec maniement des armes, infiltration, connaissance dans les gadgets et haute technologie, permis de conduire, de tuer, et un p'tit diplôme pour faire bien dans les cvs...
Tout le monde devrait, d'ailleurs, passer cet examen, tout le monde sera ainsi parer pour une guerre éventuelle, une nation emplie de citoyens à tuer...
Nous craignerons énormément de dommages collatéraux, mais, ce sont les risques du métier...
Faudrait arrêter de fumer aussi...