Vendredi 20 octobre 2006 à 10:39

Par hasard découvert au coin d'une rue virtuelle, un jour quelconque et sans importance, Woven Hand est un groupe que j'affectionne énormément aujourd'hui, par sa musique originale, son style, sa voix, ses instruments, mené par le chanteur David Eugene Edwards appartenant auparavant à l'excellent groupe 16 Horsepower...

Un album particulièrement intéressant, à mon goût, est, sans aucun doute, Blush Music, deux versions de l'album sont sortis, le premier Blush Music et le second Blush (Original Score), ce dernier étant la musique utilisée par la compagnie Ultima Vez pour leur projet théâtral...

Cela n'empêche pas que les autres albums soient moins intéressants et originaux, je les recommande tous : Woven Hand, Consider The Birds et le dernier Mosaic...

En prime voilà le premier titre de l'album Blush Music :



Vendredi 20 octobre 2006 à 1:09

Hier, j'étais là, assis devant vous, à la même heure, sans me poser la question : Que se passera-t-il demain ?

Car demain, ou aujourd'hui, j'ai agi, dans un sens tout à fait particulier, mes habitudes ont été chamboulées par des rélféxions intenses et des prises de décision courageuse...

Je suis en voie de devenir un autre homme, de ne plus me laisser influencer, guider, périr dans un monde que je n'ai pas construit, j'ai décidé de prendre les choses en main quitte à devoir me combattre moi-même...

Duel qui n'est pas gagné d'avance, puisque je me retrouve encore ici, assis devant vous, toujours sans me poser la question : Que se passera-t-il demain ?

J'ai des prévisions, des plans, des calculs, sur les différentes possibilités de mes agissements, mais je ne sais pas ce qu'il se passera exactement...

Aujourd'hui, j'avais prévu une chose, me restaurer en prenant mon temps, en prenant le temps de me faire un bon repas, peu importe qu'il soit équilibré ou non, j'ai pris le temps de faire quelque chose pas compliquée mais de me faire un vrai repas, en terminant par un dessert...

J'ai réussi...

Puis, sur un coup de tête, j'ai décidé de tout lâcher, de ne pas me laisser attirer, tomber et tenter par le mal, par ma faiblesse quotidienne, par vous, par moi, par les autres, par la musique, par mon fauteuil et mon bureau éclairci par les mouvements de la souris. Non. J'ai mis en route, une musique, je me suis confortablement installé, dans un canapé, j'ai ouvert un livre, et j'ai lu...

Une pièce pour être précis, une pièce de théâtre, que j'ai lu entièrement, pour laquelle j'étais passionné, pris dans le sujet, que je ne voulais plus quitter jusqu'au point final...

J'ai réussi...

Aucune tentation pendant ce temps, tout compte fait, ce n'était pas compliqué, il suffit juste de le vouloir, un peu de volonté que diable...

Par contre, tout en écrivant ceci, je suis tenté, j'ai faim, je veux manger, gras, une pub me harcèle sans cesse pendant que j'écris ces mots...

Plus dur n'est pas la chute, mais l'aterrissage, bien sûr...

Jusque là tout va bien...

Demain, demain ne sera pas aujourd'hui, ressemblera peut-être à un autre jour, ou un autre, mais pas exactement pareil, car une chose change chaque jour, moi, ou vous, parce que l'on change, parce que l'on grandi, parce que l'on s'instruit, se cultive, parce que l'on réfléchi, parce que l'on meurt...

Jeudi 19 octobre 2006 à 0:50

Cette nuit je vais mourir, bêtement, au fond de mon lit, parce que je ne veux plus respirer, c'est un inconvénient, un problème, que je n'ai jamais réussi à résoudre...

Pourquoi respirer ? Pour vivre, pour vivre sa vie, pour vivre dans son monde, mais ce monde, cette vie, n'est pas parfaite, alors je veux changer d'air, mais je ne peux pas changer d'air, mais cet air est insupportable, comme la radio se déchaînant sur les tubes écoutés par quelques milliers de cons...

Notre atmosphère, c'est un peu comme ces milliers de cons, ils sont là, on n'en veut plus, mais on ne peut pas les faire partir, ça se prolifère trop rapidement, ça nous pollue l'esprit, la vie, les rues et notre air...

Paradoxal, non ? Non, bien que ces milliers de cons prennent les autres pour des cons, je suis les autres, je suis peut-être con moi aussi, je me trompe peut-être du tout au tout, peut-être que je ne sais pas reconnaître un véritable artiste qui reprend d'autres artistes en faisant vroum vroum par-dessus, c'est peut-être ça l'art contemporain, c'est peut-être ça la modernité, c'est peut-être ça la vie...

Je vais continuer de me polluer l'esprit, par mes propres mots, par mes propres pensées, parce que je suis un autre et que donc je suis con, parce que je ne suis pas comme les autres...

C'est à en perdre les pédales et à foncer dans le fossé sans forcément faucher les esprits de sa fausse faux...

J'insiste, il existe d'autres personnes qui comprennent tout cela et qui ne pas comme les autres, ils ne sont pas cons non plus, pas forcément intelligents, mais ils savent reconnaître le mauvais du divertissant, et le divertissant de l'excellent, voire l'excellent du chef d'oeuvre...

Mais chacun ses goûts, pourtant quand on voit des milliers de cons adorer une oeuvre que les personnes les plus sensées qualifieront de déchets radioactifs, doit-on se remettre en question ?

Une nuit, sans lune, sans étoiles, reste-t-elle une nuit ? Un jour, sans nuages, sans soleil, reste-t-il un jour ?

Un jour de pleine lune, une nuit en plein soleil...

Pourtant, notre ciel reste le même, intact, inchangé, il ne manque pas d'air...

Nous évoluons dans une contre-évolution, où les choses prennent des tournures absurdes, où la société ne cherchent pas les solutions mais expliquent les problèmes...

Et pourtant les problèmes, tout le monde les connaît, tout le monde les voit, les fréquente, les comprend, les vend, les achète, les loue, les réserve, les créé, les détruit...

C'est comme un cauchemar tournant en boucle dont on ne peut se réveiller sans se donner des coups de marteau en mousse sur la tête, ça chamboule les esprits et forge les hommes, ça claque dans les mains et tuent les moustiques, ça pique du nez et s'écrase sur des champs de blé...

Le blé, qui est, bien évidemment, une source inépuisable d'inspiration quotidienne, nous rêvons du blé qui s'envole vers le ciel telles les âmes vers le paradis...

Sauf que le paradis, n'est pas là où le croit, il est là où on ne l'attend pas, il est peut-être là, sous nos pieds, ou, dans le soleil, sur la lune, dans le vide, le néant, dans le paraître, dans l'être, chez son voisin, ou dans son coeur, dans les flammes d'une cheminée, dans une vitre brisée...

Le paradis est fragile, il ne tient qu'à un fil de soie qui casse sous le poids de son propre poids...

Mercredi 18 octobre 2006 à 0:27

Voyage Au Coeur Des Plaines Cérébrales

Mardi 17 octobre 2006 à 13:04

Loin des médias, et de toute leur ignomignies, me voilà dans l'obligation, dans un but subiliminal de rechercher de l'audience internautique, d'avoir recours à des moyens peu scrupuleux...

Nous vivons dans un monde où tout tourne autour de certaines choses, parmi ces choses, il y a, bien sûr, l'argent, et, sans nul doute, le sexe...

Nous représentons ainsi le sexe de différentes manières, soit par de brèves intentions pour le simple profit de l'argent, soit par le plaisir même de passer à l'acte, soit dans un souci de reproduction de l'espèce, or, notre société capitaliste ramène tout à l'argent, ainsi la manière dont le sexe est le plus représenté est celle qui cherche à faire du profit...

Mais, dans mon cas, je ne peux pas tirer d'argent en parlant de sexe, si ce n'est des visiteurs intempestifs plein de curiosité, de perversité, ou dans un élan de manque cruel...

Ce qui n'est en aucun cas le but premier de ce Blog, et, j'ai bien peur qu'en m'affairant à de telles choses, de ne recevoir que des pierres pour ma tromperie et mon mensonge...

Il reste à retenir que les apparences sont parfois trompeuses ou que l'habit ne fait pas le moine...

Un moine, par ailleurs, reste digne quand à la tournure que prennent les choses actuelles de notre monde décadent de tout société prônant et condamnant à la fois les pesticides sexuels de l'humanité...

La réfléxion est à vous...

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