Mercredi 19 décembre 2007 à 22:23

Que ceux qui me connaissent, verront la flemme apparente pour la recherche d'un titre. Pour les autres, un inconnu ne le reste pas quand on commence à le connaître...

C'est en partant de cette phrase très réfléchie que je vire le chat fouille-merde de ma chambre. Elle passe son temps à sucer du plastique et à ronronner quand tu ne veux pas la caresser. Entre deux Sonic a perdu tous ses anneaux et Robotnik a conquéri le monde. Mr X a tué un ami et d'autres ont tué plein de méchants qui courraient les rues. Le pied saigne. Les cheveux poussent et un grand évènement vient de se produire...

Comme vous avez pu le constater (pour ceux qui suivent ou les mêmes qui me connaissent), trois nouveaux poèmes ont fait leurs apparitions ces derniers jours. Pour tout vous dire, cela faisez environ cinq mois, oui, je dis bien cinq mois que je n'en avais pas écrit. Pour vous donner une idée, l'année dernière, à la même période, j'en écrivais au moins trois par semaine. A vous de me dire si j'ai perdu la main ou la tête...

Après ça, rien de bien significatif dans une vie banale. Le coeur continue de battre, sans raison, peut-être, ou alors cette raison m'est encore inconnue, auquel cas, je ne tarderai pas à le découvrir. S'il bat pour quelqu'un, j'essaierai de lui faire comprendre. S'il bat pour un chien, j'essaierai de me comprendre...

Mine de rien, une semaine chargée. Chargée en histoire, chargée en temps, chargez les mulets. Et pourtant, j'ai l'impression de ne rien faire, ne pas avancer. C'est sûr, ce n'est pas resté planté derrière un bureau que j'avancerai, mais, au moins, avancer dans une autre image. J'entends par là que l'on peut avancer à reculons, avancer dans le temps, avancer dans le travail, avancer dans la vie, pourquoi pas ?

Je parle, je parle, les cheveux poussent toujours et ma vision diminue. On me dit de couper. Je trouve cet acte criminel, si c'est pour couper, autant tout couper, revenir à zéro, la boule à zéro, oui...

Malheureusement, dans toutes ces nouvelles, il y a une chose que je ne puis vous occulter plus longtemps. Je n'avouerai pas aujourd'hui une quelconque homosexualité, ni un quelconque crime, passionnel ou non, mais plutôt d'une certaine dépendance. Je me savais dépendant à pas mal de choses, peut-être que certains en ont déjà remarquées (clin d'oeil à ceux qui me connaissent). Mais, ce soir, je parle d'une affreuse dépendance, une dépendance qui conduit droit à la mort. Ok, j'me vois venir, j'allais parler de la vie, c'était facile. La cigarette, mesdames, messieurs, merci...

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